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Histoire Lucas

10 septembre 2016

Revenue de vacances

Bonjour,

Je suis désolé de vous avoir laissé un petit temps. J'étais partis en voyage !!!!

 

M.Haushalter

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22 mai 2016

René-Louiche Desfontaines

Après ses études de médecine, René Desfontaines étudie l'histoire naturelle sous la direction de Bernard de Jussieu. Il publie divers travaux de botanique qui lui valent d'être admis le 2 mars 1783 à l'Académie des sciences, dont il est président en l'an XIII (1804-1805). Il est membre également de l'Académie de médecine et directeur du Muséum national d'histoire naturelle.

 

Botanique et vulgarisation scientifique

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Planche extraite du Mémoire sur quelques nouvelles espèces d'oiseaux des côtes de Barbarie

Grâce au soutien de Louis Guillaume Le Monnier (1717-1799), il peut entamer une expédition scientifique en Afrique du Nord où il reste deux ans. Il étudie la flore des côtes de Barbarie. Il en rapporte un herbier considérable et de nombreux objets d'histoire naturelle. Il fait le rapport de son voyage dans sa Flore atlantique (1798), 2 vol. in-4, avec planches. On lui doit des observations nouvelles sur le dattier, le lofos de Libye, le chêne à glands doux, sur l'irritabilité des plantes. En 1786, Desfontaines succède à Le Monnier à la chaire de botanique du Jardin du roi où il favorisa la physiologie végétale.

Il fait paraître de nombreux ouvrages de botanique dont :

  • un Cours élémentaire (1796)
  • un Tableau de l'école botanique du Muséum d'histoire naturelle (1804)
  • une Histoire des plantes et des arbrisseaux qui peuvent être cultivés en France en pleine terre (1809)
  • des Expériences sur la fécondation artificielle des plantes (1831).

Ses cours sont très populaires et rassemblent entre 500 et 600 personnes, dont de nombreuses personnalités. Il est le premier à présenter l'organographie et la physique végétales comme devant être l'introduction nécessaire de la botanique. Il est fait membre étranger de la Royal Society en 1833. Il est membre de la Société de Médecine de Paris.

Il passe la période troublée de la Révolution sans difficulté et n'hésite pas à intervenir pour sauver des botanistes, comme Louis Ramond (1755-1827) ou Charles Louis L'Héritier de Brutelle (1746-1800). Devenu aveugle à la fin de sa vie, il se fait conduire dans les serres du Muséum et tente de reconnaître les plantes au toucher.

7 mai 2016

Louis-Guillaume Le Monnier

Louis Guillaume Le Monnier (ou Lemonnier), né à Paris le 27 juin 1717 et mort à Versailles le 7 septembre 1799, est un botaniste français. Il est le frère de l'astronome Pierre Charles Le Monnier.

 

En 1758, il occupe la chaire de professeur de botanique au Jardin du roi et il est médecin de Louis XV puis de Louis XVI. Il est admis à l'Académie des sciences comme adjoint botaniste en 1743 et devient membre de laRoyal Society le 7 février 1745.

 

Il acquit dans le village de Montreuil, près de Versailles, la célèbre demeure des castrats italiens de Louis XIV, rebâtie en 1752 par l'architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour la comtesse d'Argenson, Anne Larcher (1706-1764). Il en augmenta le parc afin d'y effectuer ses expériences botaniques. Ce superbe parc devint un des hauts lieux botaniques français. Le cèdre du Liban visible actuellement est réputé avoir été planté par Lemonnier. C'est dans cette demeure qu'il décéda en 1799. Lemonnier contribua ainsi à la vocation botanique et agricole du quartier Montreuil de Versailles jusque dans les années 1950. Son parc demeura le jardin botanique de la ville jusqu'aux années 1840 avant que l'on entame progressivement son lotissement.

 

Outre ses propres publications, il a également contribué à cinq articles de l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, parmi lesquels les articles « aimant », « électricité » et « feu électrique ».

 

Il a formé et envoyé en exploration plusieurs botanistes dont André Michaux, Jacques-Julien Houtou de La Billardière, ou encore son futur successeur à la chaire de professeur de botanique, René-Louiche Desfontaines. En 1786, il a participé à l'implantation des premiers pins sylvestres dans le massif de Fontainebleau.

INFORMATIONS :

Je vous informe que des a present , chaque personnage  de l'histoire  auras une relations avec les autres personnages du blog . MERCI DE VOTRE COMPREHENSIONS. ☺☺☺😊😊😊

 

6 mai 2016

Hercule-Mériadec de Rohan de Soubise.

Né à Paris, Hercule-Mériadec de Rohan est le quatrième d'une famille d'onze enfants. Son père François de Rohan est le fondateur de la branche Soubise de la Maison de Rohan. Sa famille se réclame de la descendance des Ducs de Bretagne1 et elle possédait à la Cour de France le rang de prince étranger (en).

 

Sa mère, Anne-Julie de Rohan, était une des maîtresses de Louis XIV. Deuxième fils de la fratrie, il devient l'héritier apparent(en) à la mort de son frère ainé Louis en 1689, à l'âge de vingt-deux ans.

 

Il exerce « en survivance » de son père la fonction de Gouverneur de Champagne le 7 novembre 1693 qu'il cède à son petit-filsCharles de Rohan-Soubise le 6 juillet 17342.

 

Hercule-Mériadec porte le titre de prince de Maubuisson3 jusqu'à 1714 lorsqu'il devient duc de Rohan-Rohan.

 

Il se marie deux fois. Une première fois à Paris le 15 février 1694 avec Anne-Geneviève de Lévis, fille de Louis-Charles de Léviset de Charlotte de La Mothe-Houdancourt (plus connue sous le nom de Madame de Ventadour), gouvernante du jeune Louis XV. Anne-Geneviève (dame de Roberval dont elle apporte la seigneurie à Hercule) était veuve depuis 1692 de Louis-Charles de La Tour d'Auvergne, fils de Godefroy-Maurice de La Tour d'Auvergne et de Marie-Anne Mancini, mort au combat.

 

Anne-Geneviève de Lévis, sa première épouse, par Nicolas de Largillierre.

 

Sa seconde femme, parNattier.

 

De ce mariage naissent cinq enfants, parmi lesquels trois auront une descendance. Il perd son fils unique Jules emporté par la variole en 1724 ainsi que sa belle-fille Anne-Julie de Melun. Son petit-fils,Charles, prince de Soubise naît en 1715 et, après la mort de ses parents, il est élevé par Hercule-Mériadec lui-même afin qu'il devienne un homme de Cour. Charles sera par la suite un grand ami de Louis XV et l'arrière-grand-père du duc d'Enghien, à travers sa fille ainée Charlotte. Sa deuxième fille Charlotte-Armande est abbesse de Jouarre en succession de sa tante Anne-Marguerite de Rohan en 1721.

 

 

6 mai 2016

Marie-Louise de Rohan.

Sœur du prince de Soubise et d'un maréchal de France, elle avait pour nièceCharlotte, princesse de Condé.

 

Marie-Louise est la seule fille de Jules-François-Louis de Rohan, prince de Soubise et d'Anne-Julie-Adélaïde de Melun. Ses frères sont :

 

Charles (16 juillet 1715–4 juillet 1787), duc de Rohan-Rohan, prince de SoubiseFrançois-Armand-Auguste (1er décembre 1717–28 juin 1758), cardinal de Soubise, prince de Tournon ;François-Auguste (16 septembre 1721–6 août 1736), comte de Tournon ;René de Rohan (26 juillet 1723–7 février 1743), abbé de Luxeuil

 

Après la mort de ses parents de la petite vérole en 1724 à Paris, ses frères et elle partent vivre à Versailles avec leur oncle,Hercule-Mériadec de Rohan, prince de Guéméné.

 

Son grand frère Charles avait le même âge que Louis XV et deviendra par la suite son ami.

 

Le 4 juin 17361, Marie-Louise, baronne de Belvoir (Doubs), comtesse de Walhain (Belgique), arrière petite-fille de Charles IV de Lorraine et de Béatrix de Cusance, épouse Gaston-Jean-Baptiste de Lorraine (1721–1743), comte de Marsan. Le mariage a lieu dans la chapelle de l'hôtel de Mayenne par son grand-oncle le cardinal de Soubise2. Son mari était le frère de Louise de Lorraine, la femme du duc de Bouillon. Alors qu'elle n'a que 23 ans, Marie-Louise devient veuve après le décès de son mari dû à la petite vérole, il est emporté peu après ses propres parents. Par la suite, elle mène une vie pieuse et retirée. Le couple n'eut pas d'enfant survivant.

 

Veuve, elle prend pour amant Louis-Guillaume Le Monnier, le médecin de Louis XV3.

 

 

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2 mai 2016

Madeleine de Bourbon Busset

Du mariage entre Madeleine et Xavier de Bourbon naissent six enfants :

Elle est la marraine de Jaime de Bourbon-Parme et de Marie-Madeleine d'Alençon[réf. nécessaire].

Les parents de Madeleine, Georges de Bourbon et Marie Jeanne de Kerret se sont mariés le 24 juillet 1888 à Paris VIIIe, de cette union naissent neuf enfants :

  • Marie Magdeleine Adrienne Agnès de Bourbon (15 septembre 1889, Pleyben - 21 août 1966, Lingières) ;
  • Marie Jean Henri Jacques de Bourbon (7 septembre 1890, Clarens - 5 juin 1892, Paris VIIIe) ;
  • Marie Renée Jeanne Gabrielle de Bourbon (15 février 1893, Arcachon - 6 juin 1984, Neuilly-sur-Seine) ;
  • Marie Robert Philippe de Bourbon (20 février 1894, Paris XVIe - 24 avril 1917, Saint-Hilaire-au-Temple) ;
  • Marie Anne Béatrix de Bourbon (31 août 1895, Lignières - 29 novembre 1973, Nice) ;
  • Marie Louis Henri de Bourbon (23 février 1897, Paris XVIe - 2 juin 1918, La Ferté-Milon) ;
  • Marie Madeleine Yvonne de Bourbon (23 mars 1898, Paris XVIe - 1er septembre 1984, Paris VIIe) ;
  • Marie Blanche Henriette de Bourbon (15 mars 1900, Paris XVIe - 30 septembre 1997, Paris XVIe) ;
  • Marie Adrien Claude René de Bourbon (15 février 1902, Paris XVIe - 30 avril 1979, Cognac) ;
1 mai 2016

Antoine de Quélen de Stuer de Caussade.

Antoine de Quélen de Stuer de Caussade.

Origines:

Son père, 1er duc de La Vauguyon est le fils de Nicolas de Quélen[1] de Stuer de Caussade, comte de La Vauguyon, prince de Carency, et de sa femme Madeleine de Bourbon-Busset, fille du comte de Busset.

Il épouse en 1703 Marie-Françoise de Béthune (1712-1799), fille de Paul-François de Béthune, duc de Charost et pair de France, lui-même fils du gouverneur de la personne du roi Louis XV.

Carrière militaire:

En 1733-1735, il est colonel dans le régiment d'infanterie de Beauvoisis, et participe aux sièges de Kehl (1733) et de Philippsbourg (1734). Brigadier en 1743, il est élévé au grade de maréchal de champ après la bataille de Fontenoy (1745) puis sert à la campagne de Flandre. Il est présent à la bataille de Rocourt (1746) ainsi qu'à celle de Lauffeld l'année suivante. Il devient lieutenant général des armées du roi en 1748.

En 1758, il est nommé gouverneur des enfants de France, les quatre petits-fils de Louis XV. La même année, il est fait duc, puis pair de France en 1759. La Vauguyon est plutôt du parti des dévots et si l'éducation du futur Louis XVI n'est pas négligée notamment du point de vue des disciplines scientifiques et des langues étrangères, bien au contraire, son gouverneur le tient à l'écart des encyclopédistes. Il n'est pas étranger à une certaine pudibonderie de son élève - renforcée par le spectacle de la vie privée de Louis XV - et néglige son éducation militaire[2]

En 1770, La Vauguyon et « Madame de Marsan », gouvernante du dauphin, n'hésitent pas à intriguer avec Madame du Barry, la maîtresse de Louis XV pour écarter le ministre Choiseul

Denscandance:

Son fils Paul-François fut ministre de Louis XVI, puis de Louis XVIII.

28 avril 2016

L'histoire en continue .

L'histoire continue tous les jours grâce a moi . Explication: Tous les jours , de nouvelle histoire sur les hommes de l'histoire.

Lucas

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28 avril 2016

jeanne D'arc

Jeanne d'Arc, née vers 1412 à Domrémy village du duché de Bar dont une partie relevait du royaume de France pour le temporel et de l'évêché de Toul pour le spirituel (actuellement dans le département des Vosges en Lorraine), et morte sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen, capitale du duché de Normandie alors possession du royaume d'Angleterre, est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle « la Pucelle d'Orléans » et, depuis le XIXe siècle, « mère de la nation française ».

Au début du XVe siècle, cette jeune fille de dix-sept ans d'origine paysanne affirme avoir reçu de la part des saints Michel, Marguerite d'Antioche et Catherine la mission de délivrer la France de l'occupation anglaise. Elle parvient à rencontrer Charles VII, à conduire victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, à lever le siège d'Orléans et à conduire le roi au sacre à Reims, contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent Ans.

Capturée par les Bourguignons à Compiègne en 1430, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg, comte de Ligny, pour la somme de dix mille livres. Elle est condamnée à être brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie conduit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et ancien recteur de l'université de Paris. Entaché de nombreuses irrégularités, ce procès voit sa révision ordonnée par le pape Calixte III en 1455. Un second procès est instruit qui conclut, en 1456, à l'innocence de Jeanne et la réhabilite entièrement. Grâce à ces deux procès dont les minutes ont été conservées, elle est l'une des personnalités les mieux connues du Moyen Âge.

Béatifiée en 1909 puis canonisée en 1920, Jeanne d'Arc est devenue une des quatre saintes patronnes secondaires de la France. Sa fête nationale est instituée par la loi en 1920 et fixée au 2e dimanche de mai[2].

Elle est dans le monde entier une personnalité mythique qui a inspiré une multitude d’œuvres littéraires, historiques, musicales, dramatiques et cinématographiques.

25 avril 2016

Informations du concept du blog.

Bonjour je vous informe que le blog seras en rénovations du 1/05/2016 au 4/05/2016 .

Merci !!!!!

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